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Hymne national Uruguay

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Orientaux, la Patrie ou la tombe

Les paroles officielles de l’hymne national Uruguay

Orientaux, la Patrie ou la tombe !
Liberté ou, avec gloire, la mort.
Orientaux, la Patrie ou la tombe !
Liberté ou, avec gloire, la mort.

Voilà le vœu que notre cœur a prononcé,
Et que nous, en héros, réaliserons.
Voilà le vœu que notre cœur a prononcé,
Et que nous, en héros, réaliserons.

Liberté, Liberté, Orientaux !
C’est le cri qui a sauvé la Patrie
Et qu’à ses braves en fier combat
a rempli d’un zèle sublime.

Liberté, Liberté, Orientaux !
C’est le cri qui a sauvé la Patrie
Et qu’à ses braves en fier combat
a rempli d’un zèle sublime.

Nous méritons ce don sacré, la gloire;
Tremblez, tyrans !
Tremblez, tyrans !
Tremblez, tyrans !

Nous crierons « Liberté ! » au combat,
Et en mourant aussi, « Liberté ! »
Nous crierons « Liberté ! » au combat,
Et en mourant aussi, « Liberté ! »

Aussi la liberté !
Aussi la liberté !

Orientaux, la Patrie ou la tombe !
Liberté ou, avec gloire, la mort.
Orientaux, la Patrie ou la tombe !
Liberté ou, avec gloire, la mort.

Voilà le vœu que notre cœur a prononcé,
Et que nous, en héros, réaliserons.
Voilà le vœu que notre cœur a prononcé,
Et que nous, en héros, réaliserons.

 

Les paroles intégrales de l’hymne national Uruguay

Orientaux, la patrie ou la tombe !
La liberté ou la mort dans la gloire !
C’est le vœu que l’âme prononce,
Et cet héroïsme, nous saurons l’accomplir !

Liberté, liberté Orientaux !
Ce cri vers la patrie sauvé
Que pour ses hommes courageux dans les batailles féroces
d’un sublime enthousiasme enflammé.
De ce don sacro-saint, la gloire
Nous le méritons, tremblez !
Liberté dans le combat, nous crierons,
Et la mort, aussi la liberté !

Deux mondes dominés par Iberia
Elle a ostenté son pouvoir hautain,
Et à ses pieds gisait un captif
L’Orient sans nom ni être ;
Mais soudain, ses fers se sont cassés…
Avant le dogme que May a inspiré,
Parmi les despotes libres et féroces,
On a vu un abîme sans pont.

Sa chaîne brisée en guise de bras,
Pour le bouclier de sa poitrine dans le combat,
De son superbe courage tremblait
Les champions féodaux du Cid :
Dans les vallées, les montagnes et les jungles
Ils chargent avec une arrogance muette,
Avec un rugissement féroce, ils ont tonné
Les cavernes et le ciel à la fois.

Le rugissement qui résonne autour
La tombe d’Atahualpa a été ouverte,
Et secouant ses paumes de main d’un air maussade.
Son squelette, vengeance ! cria-t-il :
Les patriotes l’écho grandiose
Sont électrisés par le feu martial,
Et dans leur enseigne la plus vivante brille
Le Dieu immortel des Incas.

Longue, avec une fortune variable,
Il a combattu l’affranchi et le seigneur,
Se disputer la terre sanglante
Répandue centimètre par centimètre avec une fureur aveugle.
La justice, enfin, vainc
Apprivoiser les rages d’un roi ;
Et devant le monde, l’indomptable Patrie
Inaugure son enseigne, et son roi.

Orientaux, admirez le drapeau,
D’un héroïsme éclatant, le creuset de l’héroïsme ;
Nos lances défendent son éclat,
Que personne n’insulte l’image du soleil !
Des droits civiques, profitons-en
Maintenons, et le code fidèle
Vénérons l’immunité et la gloire
Comme l’arche sacrée d’Israël.

Pour que ta gloire soit plus grande
Et fais briller ton prix et ta puissance,
Trois diadèmes, ho Patria, ont été vus
Jouis de ta domination, et perds-la.
La liberté, la liberté adorée,
Much cost thou unparalleled treasure !
Ce sang qui arrose ton autel.

Si aux peuples s’agite un barbare,
Remuant sa fureur éteinte,
Évitons les discordes fratricides,
Dix mille tombes rappellent son horreur !
Les Tempêtes du Ciel fulminent,
des malédictions s’abattent sur lui,
Et le culte libre triomphe
De lois le riche joyau.

De lauriers scintillants ornementés
La fière amazone du Sud,
Sur son bouclier de bronze, ils se reflètent
Force, justice et vertu.
Ni les ennemis n’humilient son front,
Ni les oppresseurs ne lui imposent le pied :
Que dans l’angoisse elle a scellé sa constance
Et dans le baptême du sang, sa foi.

Célébrer la gloire, et le jour
de la nouvelle République le Soleil,
Avec des éclats de violet et d’or,
Festonne sa belle lueur.
De l’Olympe, la voûte auguste
Brille, et un être divin
Avec les étoiles écrites dans les cieux,
Douce Patrie, ton nom immortel.

Des lois que les Numen nous font jurer
Égalité, patriotisme et union,
Immolant sur ses autels divins
Haines aveugles, et ambitions noires.
Et trouvera ceux qui insultent férocement
La grandeur du peuple oriental,
Si ennemis, la lance de Mars
Si les tyrans, le poignard de Brutus.

Orientaux, la patrie ou la tombe !
La liberté ou la mort dans la gloire !
C’est le vœu que l’âme prononce.
Et cet héroïsme, nous saurons l’accomplir !

Traduction non officielle

L’hymne national Uruguay a été adopté en 1833.
Il a été écrit par Francisco Acuña de Figueroa et composé par Francisco José Debali.

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